vendredi 24 février 2023

Cameroun: stratégies_de_grève_des_enseignants_du_01_Mars_2023

Bonne lecture
🚨 #Stratégies_de_grève_des_enseignants_du_01_Mars_2023*🚨
Exigences des enseignants : 💯% Automatisation des actes de carrière et spécifiquement les avancements avec effets financiers,  suivi des rappels le mois suivant
💯%Révision et application du nouveau statut des enseignants
💯% apurement  de la totalité de  dette due aux enseignants avant le 01 septembre 2023 (condition de l'effectivité de la rentrée scolaire 2023/2024)... Entre autres. 
✅1-Pas de grève en dehors du cadre scolaire,
✅2- Tôt le matin, rassemblement, photos ou vidéos datées avec slogan #ops (variant #ots) et publications
✅3-En classe, donner aux élèves uniquement le titre des chapitres et les sous-titres ;  remplir les cahiers de textes, devoirs sous forme des exposés à corriger après la grève.
✅4-Insister sur la remédiation des leçons des classes antérieures pendant le reste de temps. La grève permettra aux élèves de se mettre à niveau 👏
✅5-Zéro leçon traditionnelle enseignants face aux élèves dans la classe à l'exception des leçons de remise à niveau (classes antérieures et contenu du trimestre 1). 
✅ 6-Durée de la grève, 3 semaines, si les mesures ne sont pas significatives, elle se renouvelle après une intermède réservée à la présentation des exposés par les élèves.
✅ 7- Si rien n'est fait pendant l'intermède,  le mouvement de grève reprend de plus belle en avril 2023; se poursuivra par le boycott des examens officiels. 
8- Opération bouche morte, ne parlez que devant votre avocat en période de grève. 
*NB* : L'année scolaire 2023/2024 sera conditionnée par le payement entier de la dette due aux enseignants.
La grève n'est pas une occasion pour les enseignants de denuder leur conscience professionnelle, l'éthique et la déontologie de notre métier. L'enseignant mène une lutte pacifique, apolitique et fourni un service minimum aux élèves. Elle n'est pas infinie. L'enseignant se doit d'expliquer à ses élèves les motifs de leurs grève et ne doit pas en aucun cas les  inciter à la révolte.
#Actu-africa

mercredi 22 février 2023

Cameroun : Nécrologie, décès ce jour de la fille du tout premier chef d'état camerounais

Elle s'appelait Babette Ahidjo, elle est décédée le 21 février 2023.
Bonne lecture
La fille du tout premier chef d'état camerounais Babette Ahidjo est décédée ce 21 février 2023 nous rapporte le jouraliste Jean Bruno TAGNE qui rend hommage et témoigne à la jeune dame:
Adieu Mme Babette Fadimatou Ahidjo 

Le 30 novembre 2017, je profitai d’un court séjour privé à Dakar au Sénégal pour rendre visite à la famille Ahidjo. Ce jour-là, je ne pus rencontrer l’ex première dame, qui se reposait après avoir passé une journée de recueillement sur la tombe de son défunt époux, le président Ahmadou Ahidjo au cimetière de Yoff. 

Sa fille, Babette Fadimatou, nous accueillis. Je fus marqué par la simplicité de cette dame, très avenante, ouverte et d’une très grande dignité. Elle est décédée le 21 février 2023 des suites de maladie. Paix à son âme.
Que son âme repose en paix et qu'elle retrouve ceux de ses parents.
Toutes nos condoléances à cette famille qui a perdu récemment leur maman, et donc les restes du tout premier chef d'état Camerounais et son épouse reposent tous deux dans un cimetière à Dakar.


mardi 21 février 2023

UNE RÉPUBLIQUE UPSIDE DOWN, FAUTE DE BOUSSOLE MORALE signé Alice Sadio

Bonne lecture
UNE RÉPUBLIQUE UPSIDE DOWN, FAUTE DE BOUSSOLE MORALE:

Tel est le résultat d'un "inconscient collectif" fabriqué par quarante ans d'un biyaïsme profondément anti-republicain et anticitoyen.

Le degré de perversion de l'inconscient collectif que la pègre qui nous tient lieu d'élite a fabriquée dans ce pays en quarante de règne sans partage, il nous faudra au minimum 100 ans pour la déconstruire.

Ce n'est qu'au terme de ce travail de déconstruction du culte de la tribu au détriment de la République, du culte de la méconnaissance réelle ou simulée de l'autre, de l'exaspération des idées reçues à son sujet, de la peur que cette méconnaissance et ces idées reçues génèrent, et des spasmes de violences interethniques qui en découlent, que nous pourrons envisager un véritable Projet national en tant que Peuple.

Le dernier théâtre d'expression de cet état de chose est le climat de suspicion, de haine et de déviance tribale qui s'empare peu à peu d'une affaire, tenez-vous bien, d'assassinat froid d'un compatriote.

Des gens sensés normalement constitués, sensés détenir le bagage intellectuel suffisant pour être répertoriés comme des porteurs de lanterne, des éclaireurs de la doxa, des leaders d'opinion, nous disent fièrement aujourd'hui, la tête haute et le torse bombé, en l'an 2023, soit soixante trois ans (63!) après l'indépendance, que la républiquette tribale imaginaire, le carcan ethnique, les appétits pécuniaires, ONT et DOIVENT avoir une préséance sur la recherche de la Vérité et la Justice. 

Tuant une fois de trop, l'intouchabilité, la sacralité de la notion de "Personnalité Nationale" telle qu'inscrite dans le Préambule de notre CONSTITUTION, cet ambitieux cap à la fois optimiste et progressiste prescrit par nos pères fondateurs.

Lorsqu'on pense que les concepteurs de ces Piliers du jeune État du Cameroun n'étaient que des "illettrés" au sens où l'entend l'intellectuel pacotille d'aujourd'hui.

Lorsqu'on pense que ces dignes nationalistes n'avaient même pas le millionnième des opportunités d'accumulation des savoirs et des connaissances en sciences politiques qui s'offrent au contemporain Camerounais.

Lorsqu'on pense qu'en leurs temps ils n'avaient n'avaient ni Google ni Facebook, ni tweeter ni WhatsApp pour bénéficier de l'avalanche des données comparatives auxquelles la jeunesse Camerounaise a droit aujourd'hui.

Mais qu'en dépit de cet enclos qu'était leur cadre spacio temporelle de l'époque, ils avaient eu l'audace de rêver grand pour le Cameroun d'alors et de se prescrire à eux-mêmes et à la postérité le PRINCIPE DE L'ÉRECTION D'UNE CITOYENNETÉ RÉPUBLICAINE adossée sur le Citoyen idéal débarrassé de ses démons de replis identitaires qu'ils appelèrent alors "personnalité nationale"... 

Quand on a considéré cela et que l'on revient aujourd'hui, 63 ans plus tard, faire le lamentable constat de ce que nous d'ici et de maintenant donnons à voir de nous: Nous, tels de petits animaux sauvages, en divagation à l'interieur et dans le monde, donnant à voir à souhait, nos incapacités notoires, inaptes que nous sommes à nous projeter dans le temps et l'espace.

Nous dont l'actualité, lorsqu'elle ne traite pas de l'argent des lignes bizarroïdes dites 94 et tantanpion, qu'il faille donner au frère du village (en parfaite violation de toutes les règles en la matière sans que celà n'emeuve outre mesure) pour qu'il concurrence "l'étranger envahisseur" (quel projet noble!) on est dans la guerre de la paternité du koki, ou du diktat des rules immuables de  comment il faudrait manger le taro sauce jaune...


Nous, dont le débat sur la sempiternelle crise d'urbanisme et d'exode rural ne peut se tenir 5 minutes durant, sans glisser inexorablement vers des crédos villageois du genre "rentrez chez vous. C'est vous qui salissez nos villages, etc."

Un pays dans lequel un simple fait divers de violence conjugale, de crime passionnel, de grand banditisme... ne peut s'analyser de façon Républicaine sans basculer dans les analyses et commentaires à connotation éminemment tribales...

Un pays dans lequel, confrontés à une guerrilla qui dure depuis plus de 7 ans ( conf. NoSo), et dont on déplore déjà pas moins de dix mille morts, des gens réussissent à y voir non pas l'echec d'un système politique, non pas la rupture de la courroie verticale de prise de décisions concertées entre gouvernants - gouvernés, non pas l'échec d'un régime politique donné, mais davantage une affaire d'une ethnie x qui tirerait les ficelles pour nuire à une ethnie y...

Tel est le pitoyable paysage sociopolitique du Cameroun sous ce règne.

On aurait pu croire que l'horreur déployée par les bourreaux dans l'assassinat abjecte de Martinez Zogo, était suffisamment glauque pour imposer à la conscience collectif de notre pays de s'imposer une certaine pudeur, une certaine rigueur éthique, le temps d'une mobilisation des énergies pour exiger l'arrestation et la punition des assassins et commenditaires de ce crime crapuleux, qui qu'ils soient, d'où qu'ils viennent. Afin d'envoyer un message fort à ceux qui veulent s'octroyer le droit de vie et de mort sur le peuple d'en bas.

Seulement, au vu des sorties nauséabondes de certains "influenceurs" et "intellectuels" dont je n'ose pas citer les noms, je comprends aujourd'hui que j'avais largement sous-estimé notre propension à la gadoue, au sang, au morbide, pourvu que cela nous donne du grain à moudre dans nos sempiternelles envolées tribalistiques à des fins manipulatoires.

Autrement,
Je voudrais que l'on m'explique par quelles gymnastiques superfétatoires en est-on arrivés à s'approprier l'affaire Martinez sur les réseaux sociaux, non plus pour mobiliser l'opinion et revendiquer les têtes des coupables, mais désormais pour tirer des ficelles avec des partis pris à peine voilés, clamant l'innocence à priori d'un tel parcequ'il serait le premier riche du village, soupçonnant et traitant par ricochet un tel autre de coupable et/ou de fou parcequ'il serait ou ne serait pas notre frère. Brandissant menaces et avertissements sur les velléités de mise en examen ou d'audition d'un tel autre parcequ'il serait notre ministre à nous...

Tout le monde où presque semble aujourd'hui relativiser la dangerosité que revêtrait l'erreur judiciaire sur une telle affaire qui pourrait avoir pour conséquence directe: la mise en liberté ou la condamnation de faux coupables, le risque permanent encouru par la société (c'est-à-dire chacun de nous) d'avoir un tueur en liberté, un tueur qui est capable, tenez vous bien, de s'offrir les services de notre redoutée DGRE...

J'ai pris un peu du recul, le temps d'une observation du niveau disais-je, d'inconscience que nous déployons dans cette affaire qui met en péril la sécurité même de l'État, et par ricochet, de nous tous, indépendamment de nos ethnies,  pour mesurer jusqu'à quel point nous sommes à des années lumières de l'érection de cette "Personnalité Nationale", socle de la citoyenneté forte, qui seule peut être armée idéologiquement pour structurer notre bouclier existentiel et accoucher d'une Nation forte et capable de contrer les vagues successives d'invasions post-coloniales du vrai étranger, du vrai envahisseur.

Car un Peuple qui n'a pas conscience d'en être un est à la merci de toutes sortes d'appétits extérieurs, et tout ce qu'il bâti, il le bâti en vain.

Une foule qui ne sait faire foule devant rien du tout est un conglomérat de broussards villageois incapables d'ambitionner ni sur le moyen, encore moins sur le long terme. Aussi simple que ça.
Or avoir des ambitions Républicaines consiste en la capacité d'une génération donnée à faire un rêve plus grand que sa contemporanité, à poser les jalons de l'implémentation dudit rêve, sachant parfaitement qu'on n'en verra pas forcément le parachèvement.

À l'image du vieillard de 75 ans qui plante un kolatier dont il n'a aucune chance d'en goûter le fruit, un Peuple, un vrai Peuple j'entends, c'est celui-là qui mû par ses éclaireurs avisés, s'accorde à un moment de son histoire sur sa propre échelle de valeurs, son éthique sociétale. Les choses qui pour lui relèvent du sacré, fixe la ligne de démarcation entre le permis et l'interdit. Entre le bien et le mal.

Or il est mal de haïr, d'exclure gratuitement comme il est mal de tuer son prochain. 

Il est mal de déconstruire la Res-Publica sur l'hôtel des intérêts mafieux, des considérations bassement tribales et/ou individualistes. Car même nos républiquette claniques n'ont aucune chance de survie en marge d'un ETAT FORT qui seul peut protéger et défendre ses enfants.

Lorsque l'ETAT sensé être impersonnel et impartial, lorsque l'Etat qui est sensé durer se laisse lui-même prendre au piège de ces émotions villageoises aux intérêts ondoyants et divers, aux désidératas mouvants et changeants selon qu'on a le privilège d'être voisins des détenteurs frauduleux du Trésor Public ou que l'on estime en avoir été éloigné pendant trop longtemps, c'est le commencement du déclin.

Ces états d'âmes essentiellement émotifs et conjoncturels sont le poison, le cancer du projet de constitution de l'ETAT. 

Seul un Peuple fort et conscient de ses intérêts peut donner du bon carburant à l'ETAT via ses vrais leaders pour qu'il le défende en tout temps et en tous lieux. Sans exiger en retour qu'une partie du peuple lui lèche les bottes ou pire, défende ses causes indéfendables, parceque minables.

L'assassinat crapuleux de Martinez Zogo fait partie de ces causes autour desquelles il est attendu d'un vrai Peuple qu'il fasse front. Qu'il fasse l'unanimité pour faire plier et reculer le mal. Le crime.

Il en fut de même pour la guerre du NoSo, dont l'horreur aurait dû obliger la République et tous ses présumés leaders et portes paroles à imposer un temps d'arrêt aux dirigeants actuels. Le temps de régler ce grave différend qui nous coûte déjà plus dix mille morts. Morts dont aurait pu faire l'économie. Nous avions en son temps banalisé. Déviant le débat vers des considérations de personnes.

Hier également, dans la crise du NoSo, l'on a vu les bien pensants nous expliquer, tête haute et torse bombé que les élections municipales et législatives étaient des priorités très urgentes et incontournables et que la guerre pouvait attendre.

Pendant que nous battions campagne pour devenir qui député qui maire, à quelques encablures de nos urnes, crepitaient les balles. Ces balles crépitent toujours aujourd'hui. 

Ces balles siffleront encore et encore, tant que le souverain démissionnera de sa mission citoyenne, à savoir imposer son tempo à ses représentants prétendument élus.
 
Aujourd'hui,
Avec le meurtre avec préméditation de Martinez Zogo, meurtre impliquant des agents des services d'Intelligence, de Souveraineté et de Sécurité du Cameroun, même là, puisque le temps bégaie, les partis pris etho-tribaux et les intérêts pécuniaires, telle une pieuvre maléfique, risquent encore d'avoir raison de la Vérité, de la Justice, de la Vie tout simplement.

Ce coup de gueule est le reflet du niveau de désillusion et de nausée qui est le mien aujourd'hui.

De voir cet énième basculement à la fois villageois et immoral de la doxa, manipulée qu'elle est, vers des considérations complètement à côté de ce qui est en jeu: 

1- L'assassinat d'un CITOYEN, 

2- L'implication de l'instance dirigeante de la DGRE, 

3- La toile de fond de guerres de conquête du pouvoir y relatifs avec les différents réseaux qui s'affrontent 

4- Le degré de condescendance, de mépris et d'exclusion du peuple qu'affichent ces acteurs médiocres en tout points de vue (eu égard au degré de décrépitude de ce pays) mais qui ne veulent pas lâcher l'os. 

Ces acteurs médiocres et antipatriotes de surcroît, qui ambitionnent de prendre également en otage le destin de nos progénitures après avoir foutu nos rêves en l'air.

De voir, disais-je, cette énième déviance anti-republicaine avec la complicité du "peuple" ou de ce qu'il en tient lieu, donne des raisons de désespérer en le corps social Camerounais.

En tout état de cause, ma part de vérité dans cette affaire se résume en ceci:

1- Un Citoyen a été tué, ses assassins et complices doivent être tous interpellés, jugés et sévèrement condamnés. Quelles que soient leurs tribus d'origine et leurs statuts en société si tant il est vrai que nous sommes en République et que nul n'est au dessus de la Loi.

2- Ce qui se passe au NoSo est une guerre en bonne et due forme. Aux conséquences désastreuses sur notre devenir même après Biya. Peu importe les tribus des ambazonniens déjà tués ou à tuer, peu importe les tribus des soldats déjà tués ou à tuer, il reste une constante: 

C'est que ce massacre se déroule en territoire Camerounais et donc, ça nous concerne et nous interpelle. Que l'on aime les ambazonniens ou pas. Que l'on aime notre armée reguliere ou pas. Les conséquences nos affecteront. 

Par conséquent, dans un pays normal, en l'absence des formatages tribalistiques successifs,  l'échec répété des solutions gouvernementales à résoudre ce conflit, cet échec à lui seul, serait une raison suffisante pour entraîner une revendication trans-regionale soutenue jusqu'à l'obtention de la démission pure et simple de TOUS ceux là qui sont à l'origine du déclenchement de ce chaos.

En somme,
Pour revenir à l'idéal de départ, ce que je voudrais dire, c'est qu'il est désormais acté que quarante ans de Biyaïsme moutonnier ont eu raison de ce beau projet de nos pères fondateurs qu'ils theorisaient alors en termes de : "PERSONNALITÉ NATIONALE " vivant dans " UNE SEULE ET MÊME NATION" et "ENGAGÉS DANS LE MÊME DESTIN" avec la " VOLONTÉ INÉBRANLABLE DE CONSTRUIRE LA PATRIE CAMEROUNAISE SUR LA BASE DE L'IDÉAL DE FRATERNITÉ, DE JUSTICE ET DE PROGRÈS ". Confère le préambule de notre CONSTITUTION originelle de 1972.

Au fait, où en étais-je, avant que l'enfant ne pleure...

#JusticePourMartinez

#StopNoSoWarAndNegociateFederalism

#FreeAllPoliticalPrisoners

#YesForDemocraticTransition

Alice Sadio 

Une citoyenne meurtrie.

Le Dr. Dieudonné ESSOMBA parle


Depuis l'arrestation du milliardaire Betsi ou EKANG jean Pierre AMOUGOU BELINGA, Dieudonné ESSOMBA est l'un des rares à marquer son attachement à ce Mr
Lisons.
Bonne lecture
LA VERITE FINIRA PAR TRIOMPHER

Au fur et à mesure que le temps passe, l’épais voile de mensonge tissé pour éliminer Amougou Belinga s’estompe, dévoilant l’odieux complot contre les seul Ekang qui fait encore le poids à Yaoundé, totalement conquis par les populations allogènes.

Le complot ne vient pas d’ailleurs, mais du dedans, par les nôtres !
Et comme on dit, le fusil du Beti ne regarde jamais devant, là où il y a l’ennemi, mais derrière, là où il y a son frère !

On bâtit un pseudo-complot tissé de fil blanc et en plein jour, on se propose d’assassiner un vaillant individu, sur la base des arguties qui ne tiennent d’aucune logique et d’aucun bon sens.

Et on veut nous faire avaler cela ?

Ce n’est pas sûr que ça passera !

Ce qui est certain, c’est que Martinez Zogo a été exécuté par un colonel ripou, dévoyé, psychopathe et mythomane dans le cadre de leurs transactions glauques d’information et de chantage. Ce colonel malade et félon a bâti au sein de la DGRE, à l’insu de son patron qui ne lui portait pas à cœur, un groupe mafieux qui exerçait le chantage et le trafic d’information. Et dans ce cadre crépusculaire qu’il a commis son crime.

 C’est clair et net. La logique du commanditaire vient d’une part, de la pression de la populace qui ne voulait pas voir Amougou Belionga, et d’autre part, du refus de la Commission des Hauts gradés de reconnaitre que dans leur rang a pu exister et prospérer un fou de cette ampleur.

Comme toute institution, ces hauts gradés veulent maintenir intacte l’image d’une institution bien organisée en rejetant sur quelqu’un d’extérieur un crime commis par un des siens, afin de ne pas reconnaître ses propres dysfonctionnements.

C’est le syndrome Esterhazy des institutions militaires.

Comment peut-on maintenir des gens en détention, et qui plus est, un opérateur économique de la taille d’Amougou Belinga sur la base des déclarations volatiles d’un individu déséquilibré qui accuse les Ministres, change de version chaque seconde, n’arrive pas à désigner le lieu de son crime ?

Et assez paradoxalement, dès que ce fou parle du Wouri, on va au Wouri : Dès qu’il parle du Logone, on va au Logone : Dès qu’il parle de la Sanaga, on va à la Sanaga ! C’est quoi ça ?

Si Biya n’avait pas été un vieux rusé et malin, il n’ya aucun doute qu’il aurait cédé à la pression de la racaille, en faisant interpeller des personnalités hautement honorables comme le très respecté Laurent ESSO, Ministre d’Etat et très haut magistrat, ou le Ministre Motaze !

Heureusement que le Président Biya, ancien étudiant des Hautes Etudes d’Outremer avec pour Diplôme « Administrateurs des Colonies de la France d’Outremer » en a vu de toutes les couleurs et connait bien la mentalité des colonisés.

 Mais qu’on ne s’y trompe pas ! A Yaoundé, située en plein pays Ekang, il n’existe aucune boulangerie Ekang, aucun hôtel Ekang digne de ce nom,  aucune quincaillerie Ekang, aucune usine, rien ! Nos enfants qui sortent des écoles trainent leur misère, obligés d’aller mendier quelques strapontins dans les entreprises des autres où ils sont traités en esclaves et en parasites.

Le seul qui, dans de pires difficultés, tente de faire le poids et nous donner une consolation est Amougou Belinga ! Que voulez-vous ? Chaque peuple se contente du peu qu’il a !  Si els autres peuvent nous brandir leurs centaines de milliardaires, nous avons aussi Amougou Belinga.

Et voici qu’en plein jour, on tente de l’assassiner sur la base des motifs fallacieux !

*On nous assène tout le temps : « Justice pour Martinez Zogo » ! La justice pour Martinez Zogo signifie qu’on élimine Amougou Belinga alors qu’il n’a rien fait.

A travers une compassion hyperbolique d’hypocrisie et fourberie, on veut éliminer le seul Ekang dont la progression nous console ! 

On a raconté des choses dont aucune ne s’est révélée vraie. L’Immeuble Ekang qui concentre toutes les haines et dont les sous-sols  auraient abrité le meurtre n’a pas de sous-sol.  Le Ministre d’Etat Laurent Esso qui aurait ordonné le meurtre n’a même pas appelé Amougou ce jour-là.
 
On le maintient encore au SED pourquoi ? Faute de la moindre preuve sur le meurtre, on l’accuse maintenant de tentative de coup d’Etat, de collusion avec Wagner, on réveille de vieilles affaires enterrées, on interpelle tous son personnel stratégique…

C’est quoi, tout ce jeu ? 

L’armée doit reconnaître qu’elle avait malheureusement un malade mental en son sein et améliorer sa sélection dans les nominations en tenant compte de l‘état psychique des responsables. Au lieu de poursuivre cette recherche effrénée et parfaitement stérile d’un commanditaire qui n’existe nulle part et qui peut la conduire au naufrage.

Quant à ceux qui espèrent transformer Yaoundé en une colonie de  peuplement où les Ekang seraient absents, un peu comme els Blancs ont éliminé els Indiens d’Amérique, il faut leur dire clairement qu’ils font un très mauvais pari.
Source:
Dieudonné Essomba du 21/02/2023

Affaire MZ: La déclaration de Xavier Messe à TIATI qui risque le conduire ce jour à la prison

Ce jour le journaliste Xavier Messe à TIaTI sera entendu pour la 4eme fois au SED.



Bonne lecture
Hier à sa sortie du Sed d'après l'homme politique Parfait mvoum du SDf, Xavier Messe à TIaTI aurait déclaré :
"Je sors du Sed grâce à la bienveillance d'un colonel. La commission créée par le chef de l'Etat est convaincue: je connais les commanditaires et les assassins de Martinez Zogo! Je dois me représenter demain, pour ne même plus en repartir. Voilà où j'en suis."
Propos de Xavier Messè À Tiati à sa sortie hier du SED. Au regard de cette réaction, tout laisse croire que Xavier, sera le premier à Payer les frais de l'assassinat de Martinez. Il est est à sa 3eme audition. Il en sera à la 4ème ce jour. Nous pensons avec lui, que ce sera la dernière et malheureusement un mandat de dépôt lui sera servi pour Kondengui. 
En rappel, Xavier, est ce grand homme de médias, qui a roulé sa bosse aussi bien à l'international qu'au Cameroun. Le lendemain de la découverte du corps de Martinez, il declara sur les antennes de la chaîne de Cyril Bogiko par téléphone que, depuis la disparition du corps de Martinez, il avait mis sur pied une equipe de veille journalistique. C'est grâce à cette equipe qu'il su le 18 à 5h du matin que Martinez a été tué le même jour à 3h exactement... Mais selon lui c'était aux autorités camerounaises de réagir.... Selon son informateur. Qui lui a donné cette information ? Pourquoi s'est-il tu pendant 5 jours ? Pour le journaliste, cuisiné pendant au moins 10h de temps, la protection des sources est un devoir même face à la mort de ses parents.
Il risque donc de payer gros ce jour ! Pendant qu'on attend que les auteurs soient déférés ainsi que les commanditaires, c'est encore un pauvre journaliste qui pourra payer les frais après que son collègue ait payé les Frais suprêmes.
Journaliste du monde 
Source Parfait MVOUM, cadre politique SDF

Ce jour 21 février, journée internationale de la langue maternelle.

Ce jour 21 février, journée internationale de la langue maternelle, il faut saluer en langue mate
Bonne lecture
Ce jour 21 février, journée internationale de la langue maternelle, je prends la peine de saluer certains en sa langue. 
Si tu as trouvé la tienne, écris la en dessous.

Ma'a sug
Mbolo'o
Mbenbè moos
Mè yègaa
Bia ghembagh
U yengoo
Min Tshati
Dans chieu lah
A lè Keh
Idib'ã Mboãm
Amgue'ke
Oôh tiâa
 Me'chachoú
Wa yem bê
Ntoksi wo
Nzéle apassà
Yamelaa
Moi tchaa doù
Djam ná
Ô na yaaa
Ôh li'yah
Mekoni
Monet Beu
Enkarot
Chan mekan
Keh Maye
Ma bully
Ame hoza we dan
Bouani bi 'Pe
Éku odun
Nfouza vzi
Oh zée fongo-ndeng
Mi hofni ma
Ndí hé jak ne daye
Sannou
Gou Guima
Ôu dia
Ô lié cheu
Chow
Njié'lah
Mi baa miwa
Assia-ri
Mõ Samè
Mi fânà nè léng
Matama
Ô zéah
Oor lihia
Arkoh
Keri yèh
Ina gay souwa
Kaoubeugadissou
Masomane ooh
Alekoooh
Olia
Oubafouyouga🤝👍🎉

lundi 20 février 2023

Classement Forbes 2023: Quatre Camerounaises figurent parmi les 50 africaines les plus influentes

Bonne lecture
🛑 Classement Forbes 2023: Quatre Camerounaises figurent parmi les 50 africaines les plus influentes 

Il s'agit de: 

1- Denise Epoté: journaliste, Directrice distribution Marketing et commercialisation  TV5 Monde. Elle est présidente du conseil d'administration de TV5 Monde et TV5 Monde Amérique Latine.

2- Kate Kanyi-Tometi Fotso: femme d'affaires, reine de l'agro business, elle est la fondatrice de Telcar Cocoa LTD.

3- Vera Songwe: Secrétaire générale adjointe des Nations Unies. Première femme à avoir dirigé la commission économique pour l'Afrique (CEA), 9ème secrétaire exécutive de la CEA.

4- Carmen Kamgaing: Vice Présidente Afrique, en charge de la distribution chez Caterpillar
Il ne s'agit pas des influenceuses de nuit qui utilisent le make-up pour paraître et dérouter une jeunesse sans répère, cherchant à vivre dans l'impair pour paraître.
Bonne lecture
⚫️⚫️⚫️ UN CAMEROUNAIS REMPORTE LE PRESTIGIEUX PRIX DE LA SOCIÉTÉ AMÉRICAINE DE MATHÉMATIQUES 

Le mathématicien d’origine camerounaise Ludovic TANGPI (professeur au Département de recherche opérationnelle et d'ingénierie financière de l'Université de Princeton) a remporté la prestigieuse bourse de l'American Mathematical Society. 

Ludovic Tangpi, est professeur adjoint au Département de recherche opérationnelle et d'ingénierie financière de l'Université de Princeton, a obtenu son premier diplôme en mathématiques à l'Université de Yaoundé 1, puis son Master de l'Université de Stellenbosch en Afrique du Sud (en collaboration avec l'Institut africain des sciences mathématiques), Puis son doctorat. Il travaille conjointement à l'Université Humboldt de Berlin et à l'Université de Constance, et a été stagiaire postdoctoral en mathématiques à l'Université de Vienne.




L'influence.... La vraie Le Magazine Forbes Afrique à récemment publié le classement des 50 femmes les plus influentes du continent africain. Deux Camerounaises sur le Podium.

Bonne lecture
L'INFLUENCE...LA VRAIE

Le Magazine Forbes Afrique à récemment publié le classement des 50 femmes les plus influentes du continent africain. Deux Camerounaises sur le Podium. 

En première position Denise Epoté. Cette femme de média figure régulièrement dans les classements des femmes les plus influentes du continent africain. Celle qui a été la première présentatrice du journal à la télévision nationale camerounaise, dans les années 1980-1990, est aujourd’hui directrice marketing de TV5Monde et PCA de TV5Monde USA et TV5Monde Amérique latine. Elle a passé 23 ans à la direction Afrique de la chaîne.

En troisième position, Carmen Kamgaing. Tres peu connue du public, cette ingénieure de formation occupe le poste de vice-présidente Afrique chez Caterpillar, grande société de production d’engins de génie civil. 




 Selon  le brillant journaliste Paul, il dit :"Je suis un peu surpris que les médias et les réseaux sociaux n'en parlent presque pas. Pourtant ces femmes sont les vrais modèles qu'il faut présenter à la jeunesse camerounaise. Il est important aujourd’hui que les jeunes (filles surtout) comprennent que l'influence...la vraie, ne se conjugue pas en nombre de vues, de likes ou de followers sur les réseau sociaux, obtenus en exposant sa plastique ou en tortillant son popotin".
Voilà qui peut amener à réfléchir sur les valeurs, les vraies, pas celle pleins d'artifices et de make-up qu'on nous présente sur les réseaux sociaux comme des films fictifs.

OTS Demain nous serons exactement le 21 Février 2023

Bonne lecture
Bonjour les seigneurs de la craie ! 
Demain nous serons exactement le 21 Février 2023, et nous pouvons certainement nous rappeler du 21 Février 2022, date historique pour les enseignants du Cameroun, marquant le début du mouvement OTS. 
Plusieurs revendications ont été faites et les enseignants étaient déterminés à avoir gain de cause. C'est alors que sous l'influence des " Hautes instructions du Président de la République" les enseignants patriotes, intègrent, faisant confiance à leur gouvernement, ont décidé à la "queue leu leu"de suspendre le mouvement OTS.  
Un an plus tard, essayons de faire un bilan de ce qui a été fait : 
👉 Les frais d'examen de la session précédente tout comme l'année dernière ne sont toujours pas payés à ce jour ; 
👉 Les Animateurs pédagogique travaillent toujours gratuitement ; 
👉 Les avancements ne sont toujours pas automatiques ; 
👉 Le système de 2/3 se poursuit et n'a jamais été supprimé ; 
👉 Aucun dialogue n'a eu lieu entre le gouvernement et les enseignants sur l'étude de  l'adoption et de l'application du statut particulier de l'enseignant, alors qu'une proposition avait été faite par les enseignants. 
👉 Les rappels des avancements qui constituent la grosse part de la dette ne sont même pas encore programmés. Le gouvernement parle d'août 2023. 
👉 Aucun recrutement massif des IET toujours au chômage où alors se contentant de revenus minables de l'APEE; 
👉 La sécurité de l'enseignant dans son lieu de service n'est toujours pas garantie ; 
👉 les mutations et redéploiements font toujours l'objet de mysticisme, sans transparence ni objectivité. Beaucoup d'enseignants vont jusqu'à faire 10 à 15 ans dans le même lieu de service. 
👉 Les nominations aussi sont toujours l'objet de mysticisme, Sans transparence ni objectivité, de telle sorte qu'une sorte de "bizarrerie" peut être observée dans la façon dont elles sont faites. 
👉 Des enseignants nouvellement sortis des ENS sont sans salaire, accumulant ainsi plusieurs mois d'arriérés et augmentant du coup la dette ; 
👉 (...)  La liste est tellement exhaustive, chaque enseignant volontaire ici pourra la  compléter ... 
Sans toutefois rappeler les "Hautes instructions du Président de la République", nous pouvons constater que moins de 5% des revendications des enseignants ont été prises en compte à ce jour. 
Et C'est alors qu'il faut se poser des questions de savoir :  Pourquoi les enseignants ont ils grevés ??? 
cette grève a-t-elle portée les fruits attendus ??? 
devons nous vraiment faire confiance au gouvernement ??? 
Qu'en est-il vraiment de la priorité du chef de l'état quand au système éducatif Camerounais ??? 
Qu'en est-il vraiment de ce métier noble au Cameroun ??? 
Est-ce que le gouvernement a pensé un temps soit peu à cette jeunesse sacrifiée par des enseignants démotivés, sans engouement et ardeur au travail ??? 
Pensons nous vraiment à un lendemain meilleur pour notre cher et beau pays ??? 

Quelles solutions pour faire de notre jeunesse un véritable fer de lance de la nation ???

dimanche 19 février 2023

Des mots effectifs et tendre de Patience Emvoutou au journaliste Bruno Bidjang qui traverse une mauvaise passe.

Très content d'avoir lu ce mot de solidarité habité de Patience Emvoutou au journaliste de vision 4 Bruno Bidjang actuellement en détention au SED dans ce qui s'apparente comme un crime d'État d'après RSF.
Bonne lecture
Une petite  pensée  ce dimanche,   pour mon petit frère Bruno  Bidjang  ...

 Je ne l'ai jamais  fait savoir , mais il fut un moment où  tu étais chargé  de ma communication.  

 Tu étais si jeune , si frêle,  mais tu avais une force de conviction qui forçait le respect.

 tu m'encourageais  à  me relever après la difficile  épreuve  que j'avais traversée en 2013.

  Je te regarde , et je vois un  jeune , brillant , ambitieux  . 

 Mais,  il faut que tu saches Bruno,  que la loyauté  a un prix , la deloyaute aussi . 

 Je ne comprends toujours pas   à  quel niveau  tu es impliqué  dans cette scabreuse affaire ,

 mais , puisse Dieu tout puissant te soutenir  dans cette dure épreuve que tu traverses.  

 En ce moment , je pense surtout à  tes parents , François et ta jeune mère qui étaient si  fiers de toi et je me dis quel gâchis !  

Je sais qu'il  s'agit d'une épreuve qui te permettra de mûrir,  de réfléchir  et de changer . 

 Je suis moi-même  passée par là  .

 Le succès a un très jeune âge attire toujours   la jalousie  et le mauvais  œil.  

 Je ne peux m'empêcher d'écraser une petite larme quand je vois ta petite famille . 
 
 Dieu veut te faire passer un message , sûrement ,  ne sois pas sourd à  cet appel.  


 Alors , sois fort et demande lui pardon. 

 Rien ne vaut la liberté, le luxe et l'argent ne sont que des illusions .

SANTE CRISE CARDIAQUE*

Bonne lecture
*CRISE CARDIAQUE*

Pause pendant 2 minutes et lire ceci:

1. Disons que c'est 19h25 et vous rentrez chez vous (seul bien sûr) après une journée exceptionnellement difficile au travail.
2. Vous êtes vraiment fatigué, bouleversé et frustré.
3 Tout à coup, vous commencez à éprouver une douleur dans la poitrine qui commence à s'irradier dans votre bras et votre mâchoire vers le haut et dans le coeur . Vous êtes seulement à environ cinq kilomètres de l'hôpital le plus proche de votre maison.
4. Malheureusement, vous ne savez pas si vous serez en mesure d'aller aussi loin.
5. Vous avez reçu une formation en RCR, mais le gars qui a enseigné le cours ne vous dit pas comment l'exécuter sur vous-même.
6. Comment survivre à une crise cardiaque quand vous êtes SEUL(E), car beaucoup de gens sont seuls quand ils souffrent d'une crise cardiaque et se retrouvent sans aide. La personne dont le cœur bat mal et qui commence à se sentir faible, a seulement environ 10 secondes avant de perdre conscience.
7. Cependant, ces victimes peuvent s'aider eux mêmes en se mettant à tousser à plusieurs reprises et très vigoureusement. Une respiration profonde à prendre avant chaque toux et la toux doit être profonde et prolongée, comme lors de la production des crachats dans le fond de la poitrine. Une respiration et une toux doivent être répétées toutes les deux secondes et tenir jusqu'à l'arrivée à l'hôpital ou jusqu'à ce que le cœur se remette à battre normalement.
8. Les respirations profondes permettent  d'obtenir l'oxygène dans les poumons et les mouvements de toux relancent le cœur et permettent de garder le sang en circulation. La pression sur le cœur contribue, également, à rétablir le rythme cardiaque normal. De cette façon, les victimes d'une crise cardiaque peuvent se rendre à l'hôpital pour recevoir les soins adéquats. 
9. Disons que beaucoup d'autres personnes sont intéressés à ce sujet.tu Pourrais leur sauver la vie !!
10. Un cardiologue dit que si tout le monde qui reçoit ce courrier voulait bien le renvoyer à 10 personnes, nous pourrions parier que nous allons sauver au moins une vie.
11. Au lieu d'envoyer des blagues, s'il vous plaît ... contribuez à sauver des vies en partageant ce message. 
12. Si ce message venait  à  vous parvenir plus d'une fois ... s'il vous plaît ne soyez pas en colère ... Vous devriez, au contraire, être heureux d'avoir beaucoup d'amis qui se soucient de vous et ne cessent de vous rappeler comment faire face à une crise cardiaque.



Gardez votre doigt sur le message et appuyez sur envoi

samedi 18 février 2023

Cameroun: opportunité d'emploi pour trois personnes La société CYRANA AGRO CONSULTING SARL

Bonne lecture
La société CYRANA AGRO CONSULTING SARL recherche urgement pour besoin de service :
- un infographe
- un illustrateur 
- un ingénieur agronome 

Envoyez les CV à l'adresse cyranaagro@gmail.com avant le 22-02-2023 à 12h.

NB: être bilingue français anglais serait un atout.

Cameroun pétition populaire pour la démission du garde des sceaux Camerounais

Bonne lecture
Bonjour dites non en signant la pétition populaire de démission du garde des sceaux soupçonné d'avoir été commanditaire dans  l'assassinat crapuleux et barbare du journaliste Martinez ZOGO, par ailleurs chef de chaîne de l'émission populaire embouteillage écoutée dans la cité capitale.
Venez signer cette pétition car ça sera manière de vous indigner en disant non à ce que plus jamais un journaliste camerounais ne soit tué. Une pensée pour BiBy Gota, et bien d'autres. 
Alors dès aujourd'hui, venez marquer votre engagement.


Lien de la pétition :
https://chng.it/Sprs6xhkmn

https://www.change.org/p/p%C3%A9tition-pour-la-d%C3%A9mission-de-m-laurent-esso-ministre-de-la-justice-cameroun/exp/wa/washarecopy_35530059_fr-FR/3/1295791671?recruiter=1295791671&utm_source=share_petition&utm_campaign=psf_combo_share_initial&utm_medium=whatsapp&utm_content=washarecopy_35530059_fr-FR%3A3&recruited_by_id=f4df4940-b011-11ed-9860-f39d9c15803e

Sub-Saharan Africa - Call for Application 2023

Bonne lecture
Sub-Saharan Africa - Call for Application 2023

Sub-Saharan Africa - Call for Application 2023
Find out more about the current edition of the Sub-Saharan Africa regional program.

It starts on February the 1st and continues for 8 weeks until March the 24th midnight (local time Paris).


Calendar
It starts on February 1st and continues for 8 weeks until March 24th midnight local time (Paris).The evaluation period is from April the 5th to June the 13th.
Program Overview
PARTNERS
Partnership with UNESCO
AWARD(S) OF THE PRIZE
15 endowments for doctoral students and 5 for post-doctoral students.
AMOUNT PER ENDOWMENT
€10.000 for doctoral students.
€15.000 for post-doctoral students.
logo
Sub-Saharan Africa - Call for Application 2023
Time remaining before closing of applications
34
Days
4
Hours
24
Minutes
58
Seconds
To submit applications/nominations for this program, you must be logged in to your account. If you are unable to access the form once you are logged in, please refer to the "How do I apply for a program?" section of the FAQ.
Sub-Saharan Africa - Call for Application 2023
Find out more about the current edition of the Sub-Saharan Africa regional program.

It starts on February the 1st and continues for 8 weeks until March the 24th midnight (local time Paris).

Calendar
It starts on February 1st and continues for 8 weeks until March 24th midnight local time (Paris).The evaluation period is from April the 5th to June the 13th.

FEBRUARY 2, 2023
Start of the call for application/nomination
MARCH 24, 2023
Closing of the call for application/nomination
JULY 3, 2023
Candidates' final selection
Program Overview
PARTNERS
Partnership with UNESCO

AWARD(S) OF THE PRIZE
15 endowments for doctoral students and 5 for post-doctoral students.
AMOUNT PER ENDOWMENT
€10.000 for doctoral students.
€15.000 for post-doctoral students.
MAIN ELIGIBILITY CRITERIA
Be a PhD student or have obtained a PhD in the following scientific fields: Life and Environmental sciences, Physical sciences, Engineering, Mathematics, Computer and information sciences (2nd year at least)
Be from one of the 48 countries in the sub-Saharan African region, and work in a research laboratory or institution in one of the countries of the region, or be enrolled in a University in one of the 49 countries of the region (including South Africa).

OR
Be from one of the 49 countries in the sub-Saharan African region (including South Africa) and work in a research laboratory or institution in one of the 48 countries of the region, or be enrolled in a University in one of the 48 countries of sub-Saharan Africa.
Therefore, applicants originally from South Africa doing their research in South Africa are not eligible for this programme.
Lien de la bourse. https://www.forwomeninscience.com/challenge/show/66
Lien du groupe actu-africa
https://chat.whatsapp.com/Ko8kGAX06NZ1USzbCzpoIT

Programme de bourses postdoctorales TWAS-IsDB

Je vous prie de trouver ici le Programme de bourses postdoctorales TWAS-IsDB
Bonne lecture

Opportunités

Programme de bourses postdoctorales TWAS-IsDB

Les chercheurs en début de carrière des 21 pays membres les moins avancés de la Banque islamique de développement (BID) sont éligibles à un nouveau programme postdoctoral ambitieux proposé par la BID et la TWAS. Les bourses soutiennent la recherche liée aux objectifs de développement durable des Nations Unies, offrant aux bénéficiaires une formation de haut niveau dans des domaines liés à la science de la durabilité.

Les bourses postdoctorales IsDB-TWAS pour le renforcement des compétences en science de la durabilité sont valables dans les centres d'excellence des pays en développement de cette liste:  https://twas.org/developing-countries-south , c'est-à-dire des institutions de recherche ayant une expérience bien établie en recherche et une compétence démontrée dans un domaine pertinent à la science de la durabilité.

Un centre d'accueil doit être identifié par la candidate en fonction de son domaine de recherche particulier. Dans ce dernier cas, TWAS et les examinateurs scientifiques impliqués dans la sélection des lauréats prendront une décision sur l'adéquation de l'institut d'accueil proposé par le candidat. Dans tous les cas, le centre d'accueil doit être situé dans un pays en développement. Un exemple de centre d'accueil valide est fourni par les centres d'excellence TWAS-CAS ( https://twas.org/cas-twas-centres-excellence ).

Opportunités

Programme de bourses postdoctorales TWAS-IsDB

Les chercheurs en début de carrière des 21 pays membres les moins avancés de la Banque islamique de développement (BID) sont éligibles à un nouveau programme postdoctoral ambitieux proposé par la BID et la TWAS. Les bourses soutiennent la recherche liée aux objectifs de développement durable des Nations Unies, offrant aux bénéficiaires une formation de haut niveau dans des domaines liés à la science de la durabilité.
Date limite
Organisations partenaires
Champ
00-Interdisciplinaire
Limite d'âge
45

                    ​           

 

Les bourses postdoctorales IsDB-TWAS pour le renforcement des compétences en science de la durabilité sont valables dans les centres d'excellence des pays en développement de cette liste:  https://twas.org/developing-countries-south , c'est-à-dire des institutions de recherche ayant une expérience bien établie en recherche et une compétence démontrée dans un domaine pertinent à la science de la durabilité.

Un centre d'accueil doit être identifié par la candidate en fonction de son domaine de recherche particulier. Dans ce dernier cas, TWAS et les examinateurs scientifiques impliqués dans la sélection des lauréats prendront une décision sur l'adéquation de l'institut d'accueil proposé par le candidat. Dans tous les cas, le centre d'accueil doit être situé dans un pays en développement. Un exemple de centre d'accueil valide est fourni par les centres d'excellence TWAS-CAS ( https://twas.org/cas-twas-centres-excellence ).

Les bourses postdoctorales IsDB -TWAS sont valables pour un minimum de trois mois à un maximum de six mois.

Grâce à la bourse, le scientifique sélectionné recevra une allocation mensuelle basée sur le coût de la vie dans le pays hôte pour couvrir des dépenses telles que l'hébergement, la nourriture et l'assurance maladie.

La bourse offrira une allocation pour les frais de banc jusqu'à 2 600 USD en tant que contribution aux dépenses de laboratoire nécessaires à la recherche du boursier.

La bourse couvrira le coût d'un billet d'avion aller-retour jusqu'à 1 000 USD. Tous les autres frais de voyage (par exemple, les transferts aéroport et le transport local) seront à la charge du lauréat.

Les informations sur les conditions de vie (par exemple, le logement, le transport et toute autre question liée au séjour du candidat dans le pays d'accueil) doivent être obtenues directement auprès de l'établissement d'accueil. Ni TWAS ni IsDB ne peuvent fournir ces informations.

Domaines de recherche

Le programme de bourses postdoctorales soutient des projets de recherche dans les domaines suivants (veuillez consulter les lignes directrices pour plus de détails) :

  • Agriculture durable
  • Éducation
  • Éducation pour le développement durable 
  • Changement climatique
  • Énergie
  • Villes durables
  • Croissance responsable
  • La gestion des déchets
  • Croissance démographique
  • Chimie verte
  • Biodiversité
  • Pollution plastique et Micro-plastiques
  • Eau et hygiène

 

Critère d'éligibilité:

Les candidats aux bourses postdoctorales IsDB-TWAS doivent répondre aux critères suivants:

  • Détenir un doctorat dans un domaine scientifique pertinent au domaine de recherche du programme de bourses
  • Être âgé de moins de 45 ans au moment de la demande
  • Avoir de préférence 5 ans d'expérience dans le domaine de la recherche après le doctorat
  • L'institut hôte doit être dans un pays en développement de la liste
  • Fournir une lettre d'acceptation officielle de l'institut d'accueil
  • Être ressortissant et résident d'un LDMC de la BID  figurant sur la liste fournie
  • Être employée dans une institution de son pays d'origine
  • Comment s'inscrire:

    • Les candidatures doivent être soumises uniquement en ligne via le lien en bas de la page Web. Les candidatures soumises par tout autre moyen ne seront pas prises en considération.
    • Aucune candidature ne sera acceptée après la date limite. Par conséquent, il est recommandé de soumettre votre candidature électronique, le plus tôt possible
    • Les candidatures incomplètes ne seront pas prises en considération
    • Veuillez noter qu'un chercheur ne peut soumettre qu'une seule candidature à la fois et pour un seul type de subvention ou de bourse ( c'est-à-dire soit une bourse IsDB-TWAS, soit une bourse de recherche TWAS, soit la bourse OWSD Early Career Women Scientists (ECWS)). 
    • Pour toute question, veuillez écrire à isdb@twas.org
    • Quand postuler

      • La date limite de réception des candidatures est le 6 mars 2023 . Nous vous recommandons fortement de ne pas attendre la date limite mais de soumettre votre candidature le plus tôt possible pour nous permettre de traiter votre candidature le plus rapidement possible.
      • Lien pour postuler APPLIQUER MAINTENANT
      • https://onlineforms.twas.org/apply/209
      • Lien pour intégrer le groupe actu-africa
      • https://chat.whatsapp.com/Ko8kGAX06NZ1USzbCzpoIT




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