mardi 31 janvier 2023

Le Docteur BONY enseignant à la faculté de médecine de Douala réponde 𝗔 𝗨𝗡𝗘 𝗗𝗘𝗠𝗔𝗡𝗗𝗘 𝗗'𝗘𝗫𝗣𝗟𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 au Doyen

Bonne lecture
🔵Le Docteur Aime BONNY, Enseignant à la faculté de médecine de Douala, a reçu une demande d’explication de son Doyen à la suite des révélations faites sur les antennes d‘Equinoxe TV relatives au niveau réel des étudiants en médecine. Voici sa réponse:

𝗥𝗘́𝗣𝗢𝗡𝗦𝗘 𝗔 𝗨𝗡𝗘 𝗗𝗘𝗠𝗔𝗡𝗗𝗘 𝗗'𝗘𝗫𝗣𝗟𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡
Monsieur le Doyen

J'ai bien reçu votre demande d'explication datée du 30 janvier 2023, qui m'interpelle par rapport à mon passage dans l'émission 𝐋𝐀 𝐕𝐄́𝐑𝐈𝐓𝐄́ 𝐄𝐍 𝐅𝐀𝐂𝐄 du média 𝐄́𝐐𝐔𝐈𝐍𝐎𝐗𝐄 𝐓𝐕 du 22/01/2023.

Vous m'y accusez des griefs suivants :
1- violation du droit de réserve de tout fonctionnaire,
2- Violation de l'éthique et de la déontologie universitaire,
3- Diffamation et calomnie à l'endroit de la FMSP,
4- Appel au soulèvement et à la révolte des étudiants,
5- Propagation de fausses nouvelles et de désinformation tendant à discréditer la formation de notre faculté.

Monsieur le Doyen, toutes ces accusations sont non-fondées et donc fallacieuses.

La notion de " 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐞 " ne saurait être un " 𝐝𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞́ ". Vous savez pertinemment que le taux de participation aux cours dans la faculté que vous dirigez est de moins de 20% monsieur le Doyen. Vous le savez et n'avez jamais rien fait pour inverser la courbe. De nombreuses alertes et plaintes des enseignants dans les foras de la faculté attestent de votre inaction. J'ai versé de nombreuses preuves imagées dans ma page Facebook que vous visitez chaque jour, sans aucun démenti de votre part.

Monsieur le Doyen se taire sur cette question de baisse de niveau général de nos étudiants (dixit le Pr Jean BAHEBECK) n'est rien d'autre que se rendre 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐭𝐮𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐮𝐧𝐚𝐢𝐬𝐞𝐬.
Vous savez pertinemment monsieur le Doyen que les enseignements théoriques sous forme de cours magistraux font parti du programme obligatoire d'apprentissage. Votre posture me semble donc inappropriée et inacceptable monsieur le Doyen.

Vous prétendez que constater le faible niveau de nos étudiants, en grande partie à cause d'un système d'enseignement défaillant, c'est diffamer l'institution et inciter les étudiants à la révolte. Ceci n'est pas sérieux monsieur le Doyen.

Parlez de la mafia des thèses qui est une réalité est un acte républicain monsieur le Doyen. Je vous mets au défi d'apporter la preuve du contraire. L'année dernière vous avez eu combien de présidence de jury et combien de thèses à rapporter car directeur de thèses, en flagrant délit de non-respect de la circulaire du Ministre de l'enseignement supérieur ? 

C'est devant moi, dans votre bureau il y a deux ans que vous avez remis l'enveloppe du paiement des primes de participation aux jurys à un Recteur venu de Yaoundé. Séance tenante, à la fin de son séjour à Douala il a empoché son magot. Je suis toujours en attente de mon dû, je pari que plusieurs enseignants ont également des arriérés de paiement des primes.

Je vous rappelle, monsieur le Doyen, que mes rares participations aux jurys de thèses demeurent sans rémunération depuis des années. Pourtant, certains sont payés dans un budget qui est soldé chaque année. Ne s'agit-il pas d'une mafia ?

Nier l'évidence est une posture intolérable monsieur le Doyen. Je suppose que les mêmes chefs d'accusations sont entrain d'être servi au Pr Jean BAHEBECK a l'université de Yaoundé. En effet, cet imminent Professeur a fait exactement le même diagnostic que moi. 𝐏𝐥𝐮𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞̀𝐠𝐮𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐭𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐫𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐯𝐞.

Oui nous sommes dans un monde universitaire qui interdit la pensée libre pour ne pas dire la libre pensée. J'en ai fait l'expérience du temps de votre prédécesseur par une interdiction d'accès au campus et une suspension définitive des enseignements, ce pour avoir dénoncé des dysfonctionnements de sa gouvernance. Ces abus de pouvoir qui sont les prérogatives respectives du Recteur de l'université et du Président de la République sont en cours d'instruction en justice avec mandat d'amener pendant. 

Monsieur le Doyen, soyez républicain et constater l'échec d'une gouvernance dépassée. Le taux abyssal d'absentéisme des étudiants s'explique en grande partie par une inadéquation entre emplois du temps (stage hospitalier le matin et cours l'après-midi) et les lieux géographiques des hôpitaux d'application par rapport à la faculté excentrée à PK17.

L'état de la route menant à la faculté est un autre facteur de découragement non seulement pour les étudiants mais également pour les enseignants qui accusent des arriérés de paiement des primes servant d'argent de carburant.

Monsieur le Doyen, votre accusation " 𝐝'𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐯𝐨𝐥𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐥𝐞̀𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐢𝐚𝐧𝐭𝐬 " est une menace à peine voilée de plainte pénale pour 𝐡𝐨𝐬𝐭𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧. Je la prends très au sérieux, tout en exprimant mon indignation. 

Tout en espérant être encore dans un pays de droit, je vous prie d'accepter mon sentiment le plus indigné.

Très respectueusement.

 Doc BONNY Aimé

samedi 28 janvier 2023

Cameroun Modeste MOPA l'exemple d'une jeunesse compétenteBon vent, Modeste MopaBon vent, Modeste Mopa

Bonne lecture
Bon vent, Modeste Mopa
De tous les directeurs généraux des impôts du Cameroun de l'ère moderne, Modeste Mopa reste sans doute l'un des plus remarquables par son intégrité, sa discrétion et son sens du devoir. Quand il est nommé en 2013, la DGI tournait autour de 800 milliards par an. En fin 2022, elle a réalisé plus de 2300 milliards de recettes budgétaires.
Parmi les plus grandes réalisations de Mopa, figurent en bonne place la dématérialisation des procédures et le démantèlement des criminels fiscaux. En effet, il a réussi à supprimer les caisses et la circulation de l'argent liquide dans les couloirs des centres des impôts et à limiter le contact physique entre les agents des impôts et les contribuables. Il en a en outre réussi à élargir l'assiette fiscale au fil des ans en démasquant les entreprises et les individus, qui trichent en faisant valoir le trafic d'influence et la corruption. Dans la liste de ces délinquants fiscaux, se trouvent notamment une entreprise brassicole de qui a pignon sur rue et un certain nombre de nouveaux riches sulfureux et prétentieux, qui lui en veulent encore d'avoir mis leurs tricheries à nu. 
La construction de l’immeuble siège de la DGI et du complexe sportif MUNDI, devenus des joyaux architecturaux dans la ville de Yaoundé, sont également à mettre à l’actif de Mopa.
À la faveur de ce quitus présidentiel, Mopa Modeste, inspecteur principal des impôts hors échelle, devenu en 2013 le plus jeune directeur général des impôts de l’histoire du Cameroun à 38 ans, se prépare ainsi à clôturer un magistère de 10 ans à la tête de la DGI, très prolifique pour le Trésor public. Par exemple, pour la première fois de l’histoire des finances publiques camerounaises, les recettes non pétrolières collectées par le fisc ont franchi la barre de 2 000 milliards de FCFA au cours de l’année 2022. Selon les données officielles, au cours de la décennie 2010-2019, ces recettes ont cru de 127,2%, passant de seulement 855,7 milliards de FCFA à 1 944,4 milliards de FCFA, en hausse de 1 088,7 milliards de FCFA en valeur absolue.
Il est donc normal que les délinquants fiscaux qu’il a débusqués se réjouissent de son départ et le traitent de tous les noms d'oiseaux même s'il s'en va, tête haute, servir son pays et son continent dans la plus grande institution financière au monde. 
Nous lui souhaitons bon vent dans ce nouveau défi qu'il va relever à coup sûr.
On ne peut qu'être fier de cette jeunesse qui ose dans un monde trouble, où les loups se dévorent entre eux tout en dévorant les autres.

N.B.: Texte du Dr OUMAROU MAL MAZOU
Vous pouvez vous abrégé auprès de nos actualités.

jeudi 26 janvier 2023

Arol kech, journaliste camerounais et romancier encense le postfacier de son ouvrage intitulé rivière de sang qui n'est personne d'autre que son confrère Christian INOU

L'ouvrage du journaliste et rat des archives du Cameroun Rivière de sang est déjà disponible. Arol kech met le postfacier de cette ouvrage en lumière. Allez lire le livre qui est déjà disponible. Bonne lecture.
Bonne lecture
Simon Inou a rédigé la postface de mon livre Rivière de Sang 

Ce brillant journaliste camerounais passé par l’école de Pius NJAWE au MESSAGER  et officiant désormais en Autriche m’a considérablement accompagné dans la rédaction cet ouvrage. Je le remercie grandement pour son apport. 

Dans sa postface, il dresse une historicité de la violence et de l’impunité dans la société Camerounaise :
 “ Une société qui, depuis les massacres systématiques des populations camerounaises ayant pour certains résisté à la colonisation Allemande - pensons aux résistances Bakoko (1892) jusqu'à la résistance Maka (1906) - , n'a jamais pris le temps nécessaire de faire une pause afin de demander justice sur les plans national et international. 

Nous héritons aussi de l’Allemagne,  ces assassinats publics à ciel ouvert en 1914 de Rudolf Douala Manga Bell et Martin Paul Samba, anciens fonctionnaires allemands qui avaient décidé de lutter contre les injustices allemandes dont leurs peuples furent victimes. 

Dès 1916 avec l'arrivée des Français comme héritiers de l’Allemagne, la patrie des droits de l’homme ne bannit pas pour autant les corvées inhumaines qui arrachaient les vies de nos parents. Celles-ci continuèrent jusqu’à l'émergence d'un leader endogène, qui avait refusé d’intérioriser la défaite et la langue de bois comme principes gouverneurs de sa morale: Ruben Um Nyobe. Ce dernier ne surgit pas de nulle part, mais est le produit des siècles de souffrance auxquels il fallut y mettre fin. Notre Mpodol National Ruben Um Nyobé fut lui aussi brutalement arraché à la vie par les forces coloniales expéditionnaires françaises constituées de … camerounais. 

Camerounais qui ont été massacrés par milliers lors de la “colonisation française” . Une colonisation marquée par la terreur militaire de l’armée française contre les populations qui n'aspirent qu'à plus de liberté. Cette terreur a conduit à des enlèvements, des tortures, des assassinats, des massacres de populations camerounaises dans plusieurs régions du pays notamment dans les Région de l’Ouest et du Littoral. 

Le génocide des Bamiléké et des Bassa pendant cette période ainsi que les diverses couches de traumatismes dont ces populations furent victimes ne sont pas encore totalement exorcisées. Ainsi donc l’impunité continue son chemin, laissant sur le carreau des populations entières en lambeau, auxquelles personne ne se soucie.”

La suite dans le livre : 

 Rivière de Sang : Enquêtes sur les morts non élucidées qui ont marqué le Cameroun

Disponible sur Amazon et en contactant le 0033 7 44 55 04 81.
Le livre sera disponible au Cameroun dès le mois de février.
 
France
https://www.amazon.fr/dp/2492170136
USA
https://www.amazon.com/dp/2492170136
Allemagne
https://www.amazon.de/dp/2492170136
Grande Bretagne
https://www.amazon.co.uk/dp/2492170136
Canada
https://www.amazon.ca/dp/2492170136
Espagne
https://www.amazon.es/dp/2492170136
Italie
https://www.amazon.it/dp/2492170136
 
La terre est sale ! Si è ne mvit !
 
Arol KETCH - 25.01.2023
Rat des archives

mardi 24 janvier 2023

Cameroun liberté enchaînée :Vérités sur la mort de Martinez Zogo : Révélations d’un commando d’une unité spéciale* (Acte 1)

Bonne lecture
🚨🚨 *Vérités sur la mort de Martinez Zogo : Révélations d’un commando d’une unité spéciale* (Acte 1)

Les cabinets de l’ombre qui contrôlent des pans importants du pouvoir de Yaoundé préparent l’assaut final sur Etoudi. Et pour y arriver, neutraliser Jean pierre Amougou Belinga est un impératif absolu. Le temps presse et ils ont décidé d’en finir avec lui le plus tôt possible.

Comment ils ont transformé Amougou Belinga en Mouton Noir. La pieuvre a frappé à nouveau ! Le Cameroun est consterné par les images qui abondent sur la toile se rapportant au décès du chef de chaîne de la Radio Amplitude Fm émettant à Yaoundé. L’information n’est certes pas encore rendue officielle. Mais,  maitrisant le mode opératoire de ce genre de dossier auquel j’avais par le passé été associé, autant dire sans ambages que l’assassinat de ce jeune journaliste camerounais est bien l’œuvre de la pieuvre et non celle de l’homme d’affaires Jean Pierre Amougou Belinga, comme ils veulent le faire croire à l’opinion. La pieuvre c’est un nom de code donné à celui qui gère l’antichambre du pouvoir au palais de l’unité de Yaoundé. Nous sommes au courant de tout ce qui se passe. Car, nous n’avons fait que du renseignement pensant au moins 22 années de service à un très haut niveau.

Chaque corps d’armée a une équipe de nettoyage. Nous planifions des éliminations que nous maquillions en mort naturelle si on le voulait. Le but est de servir à l’opinion ce que veut faire croire le donneur d’ordre. Pour le cas du décès de Martinez Zogo, le principe est le même ; le tuer et en faire porter le chapeau à quelqu’un d’autre. Et dans le cas d’espèce, Amougou Belinga est celui qu’on a vendu à l’opinion comme étant le meurtrier ou commanditaire de la mort de Zogo.

Le travail a été fait par des professionnels. Nous savons reconnaître un travail professionnel de celui des petits tueurs recruté dans de groupes de Bandits. Le mode opératoire est un mode militaire enseigné dans des centres de formations. Tout a été respecté de l’enlèvement à la torture et la mise à mort. L’homme a visiblement été torturé à mort pendant plusieurs jours dans une salle et sa dépouille transportée et jetée là où elle allait être découverte. Ils ont voulu que son corps soit retrouvé pour passer un message. Si non, ils auraient pu le faire disparaitre. Les sévices sur son corps et autres doigts coupés sont l’œuvre des professionnels. Un particulier aurait recruté un bandit pour l’abattre devant sa porte ou mettre une femme sur son chemin pour l’empoisonner. Ces méthodes sont connues.

En effet, nous savons que ce plan est tracé depuis quelques années. Nous ne pouvons plus nous taire car on en a marre. Il n’est pas celui qu’il faut pour le Cameroun.

L’objectif final de ce plan est de récupérer la présidence de la République par tous les moyens. Mais d’abord, il faut se débarrasser de certaines personnes autour du chef des armées et principalement d’Amougou Belinga qui met son nez partout. Son élimination physique peut créer une situation incontrôlable au sein de l’opinion et dans le sérail. Son décès ne passerait jamais inaperçu. Les renseignements que je dispose disent qu’il a été pensé une stratégie d’élimination moins brutale, mais plus incisive qui constituerait pour lui une lente agonie. Les espères de la psychologie des masses nous ont enseigné que pour tuer un homme politique ou publique, il faut mettre des morts dans son placard.

Martinez Zogo n’a jamais été un maillon essentiel dans ce plan mais juste un pion dans ce jeu de guerre. Plusieurs années en arrière, il était l’un des fervents défenseurs de Jean Pierre Amougou Belinga dans de petites luttes. Lui, au même titre que Jacques Blaise Mvié patron du journal la Nouvelle ou encore Dieudonné Mveng de la chaine info Tv. Tous étaient pratiquement inséparables et se faisaient arroser de temps à autre par leur mentor. La pieuvre le savait et attendait le bon moment pour jouer sa carte.

La pieuvre est très redoutable tout le monde la connait. Elle a le contrôle sur la gendarmerie, la police, et le Bir. Toutes les unités des commandos d’élite sont sous ses ordres. La pieuvre contrôle à lui tout seul 87% des ministères et entreprises publiques et parapubliques. Il est celui qui fait nommer qui il veut et à des postes qu’il veut. Il contrôle presque tout le pays et attend patiemment prendre le total contrôle. Ce n’est qu’une question de mois maintenant. Ils ont pris en otage le président de la République.

Pour en finir avec l’homme d’affaires Amougou Belinga, la pieuvre n’a pas eu beaucoup de mal. Car, il lui a été facile de retourner ses alliés d’hier contre lui. Pour ce faire, une forte somme d’argent et des garanties de voir échouer toute procédure judiciaire éventuelle en diffamation contre lui ont été données. Dans le même deal, ils ont promis la sécurité à l’animateur. Voilà comment Martinez Zogo et Jacques Blaise Mvié ont accepté de trahir leur ami d’hier et se sont mis au travail. Pendant plus de six mois, le journaliste n’a cessé de tirer à boulet rouge sur Amougou Belinga sur sa radio. Plusieurs documents vrais ou fabriqués lui étaient régulièrement remis dans un domicile au quartier Bastos à Yaoundé. Martinez ne pouvait en aucun cas se défouler sur l’homme d’affaires s’il n’avait pas de garantie. Moins encore jacques Blaise Mvié. Ils savent que leur ami d’hier a le bras long.

Martinez a été utilisé sans qu’il le sache. La méthode de la pieuvre consistait à prendre le public à témoin de ces cas de lynchage sur Amougou Belinga par l’animateur avant de le tuer. La pieuvre à travers ses tentacules lui a même demandé de porter plainte contre Amougou Belinga pour des faits détournements de deniers publics au sujet de quelques marchés gagnés  à la présidence de la République dans les lignes 94, 95. Tout a été bien orchestré et de grosses enveloppes remises à Mvié qui était chargé à son tour de redistribuer à des patrons de médias pour amplifier la Cabale.

Martinez croyait être dans le cercle, pourtant il n’était qu’un instrument. Il n’avait jamais imaginé qu’il allait se faire zigouiller pour servir les intérêts des personnes qui n’ont fait que l’utiliser. Ils lui ont même fait dire sur les antennes de sa radio deux jours avant son décès que Jean pierre Amougou Belinga projetait d’intenter à sa vie. Ceci pour renforcer les soupçons sur ce dernier  au cas où cela venait à arriver. Jamais il n’avait imaginé qu’il se livrait tout seul. En réalité, il venait de  finir de faire le Job et de fait était plus utile mort que vivant. Car, tout était réuni pour faire porter le chapeau d’un meurtre planifié à Amougou Belinga. Est-il possible qu’Amougou Belinga ait commandité le meurtre de Martinez sachant qu’il allait en être le premier suspect ? Impossible. Car, les meurtriers sont généralement plus intelligents et choisissent d’attendre le bon moment quand tous ont oublié. On a voulu faire porter le chapeau à Amougou Belinga.  

Les cas de Jacques Blaise Mvié, Dieudonné Mveng Pdg d’info Tv et de Christophe Bobiokono miraculé d’un accident de circulation  sont également prévus par la pieuvre. Ils ont pactisé et en savent trop. La pieuvre a tout planifié. Ses hommes de mains ne sont pas des civils. Mais des professionnels on se connait.

Le projet consiste à retourner le peuple contre Amougou Belinga afin que sa disparition ou son arrestation paraisse comme un soulagement pour l’opinion qui a soif de justice et de sang. Tout est planifié depuis plusieurs années. L’épisode de redressement fiscal qui visait à l’affaiblir avant de l’achever est un coup de la pieuvre.

L’assassinat de Martinez Zogo est l’œuvre de la pieuvre. Les services de renseignement le savent. Il est prévu de tuer le patron du groupe l’Anecdote. Il a cru avoir les cotes assez solides pour s’attaquer à la pieuvre. Mais c’était trop prétentieux pour un homme qui a toujours  fait plus qu’il n’en fallait pour  montrer sa reconnaissance et sa fidélité envers le chef de l’Etat qui l’a sorti de la misère en lui accordant un certain nombre de faveurs et de privilèges sur le plan des affaires. Il en a bénéficié comme plusieurs, fabriqués par le régime. Mais Jean pierre Amougou Belinga en voulait toujours plus au point de s’attaquer consciemment ou inconsciemment à la pieuvre. Ce qu’il ignorait est que cette officine occultiste dirigée par la pieuvre a tellement développé ses tentacules au point de devenir un monstre. Amougou Belinga n’est qu’un enfant devant la pieuvre. La pieuvre et ses affidés sont englués dans des scandales financiers des plus incroyables. Depuis des semaines, la presse est restée campée sur le scandale d’Olembé. La pieuvre a choisi de sacrifier un corps pour détourner l’attention. C’est ainsi qu’elle a toujours fonctionné. Elle a tous les pouvoirs. Il faut se débarrasser de la pieuvre. Le pays est gâté. Il y en a marre !

Commando X, acte 1 (à suivre)...

lundi 23 janvier 2023

British Ecological society Notre premier cycle de subventions pour 2023 est maintenant ouvert


 Notre premier cycle de subventions pour 2023 est maintenant ouvert. Quatre appels à candidature pour des financements pour vous aider à aiguiser vos recherches.
Bonne lecture
Appel à candidatures du premier cycle du British Ecological society pour 2023 déjà ouvert.
1-Nous acceptons maintenant les candidatures pour la première série de subventions BES qui seront attribuées cette année.  Des fonds sont disponibles pour soutenir des projets de recherche innovants et des projets de sensibilisation, ainsi que pour offrir des opportunités de développement de carrière grâce à la formation et aux voyages.  La date limite de soumission est le 15 mars. Bourses de formation et de voyage

 Chaque année, nous aidons plus de 70 étudiants et chercheurs en début de carrière à suivre une formation et à présenter à des conférences qu'ils auraient pu manquer autrement sans l'aide financière.  Des subventions allant jusqu'à 1 000 £ sont disponibles.  Nos bourses de formation et de voyage sont attribuées selon le principe du premier arrivé, premier servi, alors n'attendez pas - déposez votre candidature dès aujourd'hui !
Plus détail via ce lien.https://britishecologicalsociety.us1.list-manage.com/track/click?u=d49320d95c5ca251cba6c3c59&id=6f007354b1&e=20e5039ef3

2-Subventions de recherche écologique

 Ces subventions soutiennent la recherche écologique scientifique là où les sources alternatives de financement sont limitées.  Les petits projets peuvent être attribués jusqu'à 5 000 £ et les projets plus importants peuvent être attribués jusqu'à 20 000 £.  Tous les candidats qui postulent pour une grande subvention de recherche doivent être membres du BES depuis au moins deux ans lorsqu'ils soumettent leur candidature. Plus de détail via ce lien.https://britishecologicalsociety.us1.list-manage.com/track/click?u=d49320d95c5ca251cba6c3c59&id=d8334ef309&e=20e5039ef3

3-Ecology Outreach Grants

We actively encourage our members to promote ecological science to a wide audience and offer grants of up to £2,000. In particular, we are eager to support projects that increase public understanding of, and engagement with, ecology and stimulate discussions on ecology and its implications for society. These grants are open to both individuals and organisations and must be aimed at a non-academic audience. Plus de détails via ce lien https://britishecologicalsociety.us1.list-manage.com/track/click?u=d49320d95c5ca251cba6c3c59&id=473a73c7a2&e=20e5039ef3

4- Subventions pour les écologistes en Afrique

 Cette subvention offre un soutien allant jusqu'à 8 000 £ aux écologistes africains pour mener des recherches écologiques innovantes.  Nous reconnaissons que les écologistes en Afrique sont confrontés à des défis uniques dans la réalisation de leurs recherches ;  notre subvention est conçue pour soutenir le développement des compétences, de l'expérience et des connaissances ainsi que pour établir des liens avec des écologistes à l'échelle internationale.
Plus de détails via ce lien https://britishecologicalsociety.us1.list-manage.com/track/click?u=d49320d95c5ca251cba6c3c59&id=90a64fb174&e=20e5039ef3
Des appels à subvention spécifique pour vous aider à venir à bout de vos travaux de recherche en écologie à temps.
Restez en contact de toutes nos opportunités en vous abonnant à notre ou en recevant les notifications via notre groupe WhatsApp :https://chat.whatsapp.com/Ko8kGAX06NZ1USzbCzpoIT

Elsevier : Éditorialcomment développer un article de recherche de qualité et éviter le rejet d'un bureau de revue Revue internationale de gestion de l'information

Bonne Éditorial : comment développer un article de recherche de qualité et éviter le rejet d'un bureau de revue
Revue internationale de gestion de l'information
Volume 62 , février 2022 , 102426
Éditorial
Éditorial : comment développer un article de recherche de qualité et éviter le rejet d'un bureau de revue
Les liens d'auteur ouvrent le panneau de superpositionYogesh K. Dwivedi PhD ( Professeur )Giampaolo Viglia
https://doi.org/10.1016/j.ijinfomgt.2021.102426
Obtenir des droits et du contenu
Résumé
Le rejet de bureau des articles soumis peut être un processus extrêmement frustrant et démotivant du point de vue du chercheur, mais également une étape chronophage et vitale dans le processus pour l'éditeur, chargé de sélectionner les articles appropriés qui répondent aux critères requis pour d'autres examen et contrôle. Les commentaires des éditeurs de revues dans cet éditorial mettent en évidence les lacunes importantes dans la compréhension de nombreux universitaires du processus d'évaluation des revues et des critères d'acceptation pour la progression vers l'étape d'examen. Cet éditorial offre une perspective « vécue » précieuse sur le processus de rejet de bureau à travers le prisme de l'éditeur, via les points de vue divergents de neuf éditeurs de revues de premier plan. Chaque éditeur exprime ses propres points de vue sur les nombreuses raisons du rejet de bureau, offrant des informations clés aux chercheurs sur la manière d'aligner leurs soumissions sur les exigences spécifiques des revues et les critères de qualité requis, tout en démontrant la pertinence et la contribution à la théorie et à la pratique. Cet éditorial développe un résumé succinct des principales conclusions des différents points de vue de l'éditeur, offrant une contribution opportune d'une valeur et d'un avantage significatifs aux universitaires et aux chercheurs de l'industrie.
Revue internationale de gestion de l'information
Volume 62 , février 2022 , 102426
Éditorial
Éditorial : comment développer un article de recherche de qualité et éviter le rejet d'un bureau de revue
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Introduction
Le processus consistant à conclure qu'un article de recherche soumis ne correspond pas aux objectifs et à la portée spécifiques des revues ou ne répond pas à la rigueur et à la qualité requises est communément appelé - rejet de bureau . Cet élément du processus de révision est normalement effectué directement par l'éditeur de la revue ou par l'équipe de sous-éditeurs spécialisés. Seuls les articles soumis jugés conformes à la sélection initiale de l'éditeur seraient envoyés aux examinateurs pour une évaluation détaillée par les pairs de leur pertinence et de leur nouveauté pour publication dans la revue spécifique.

Pour les chercheurs qui subissent un rejet de bureau, cela peut être une expérience douloureuse et frustrante où les auteurs peuvent avoir eu de grandes attentes pour l'article soumis. De même, la décision de rejeter peut être un processus long et extrêmement décevant pour les éditeurs, où un nombre important de soumissions sont rejetées à ce stade initial, et les auteurs n'ont peut-être pas réussi à aligner leurs soumissions sur la portée, la qualité et la pertinence de la revue (Craig, 2010, Flanagan, 2021, Stolowy, 2017), ou ont offert une contribution de recherche insuffisante (Billsberry, 2014, Hierons, 2016, Hulland, 2019). Une augmentation du niveau des soumissions pour les revues clés, en particulier de pays comme l'Inde, le Brésil et la Chine, a aggravé la situation,

Le processus d'examen et d'acceptation des revues nécessite l'aide et l'expertise d'un ensemble fini d'experts académiques, qui offrent leurs services sur une base volontaire et de bonne volonté à des revues spécifiques. En règle générale, les revues exigent trois évaluateurs ou plus, chacun offrant ses propres idées et points de vue sur l'article soumis. Cependant, les éditeurs doivent généralement approcher entre cinq et dix réviseurs pour obtenir l'engagement nécessaire, ce qui entraîne des retards importants dans le processus de révision (Ansell et Samuels, 2021 ; p. 5). Par conséquent, les éditeurs sont conscients de leurs précieuses ressources de réviseurs et sont généralement enclins à rejeter une soumission plutôt que d'envoyer des articles de mauvaise qualité qui ne justifieraient pas le temps précieux des réviseurs et finiraient par être rejetés plus tard dans le processus (Bannister & Janssen , 2019).
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Résumé
Le rejet de bureau des articles soumis peut être un processus extrêmement frustrant et démotivant du point de vue du chercheur, mais également une étape chronophage et vitale dans le processus pour l'éditeur, chargé de sélectionner les articles appropriés qui répondent aux critères requis pour d'autres examen et contrôle. Les commentaires des éditeurs de revues dans cet éditorial mettent en évidence les lacunes importantes dans la compréhension de nombreux universitaires du processus d'évaluation des revues et des critères d'acceptation pour la progression vers l'étape d'examen. Cet éditorial offre une perspective « vécue » précieuse sur le processus de rejet de bureau à travers le prisme de l'éditeur, via les points de vue divergents de neuf éditeurs de revues de premier plan. Chaque éditeur exprime ses propres points de vue sur les nombreuses raisons du rejet de bureau, offrant des informations clés aux chercheurs sur la manière d'aligner leurs soumissions sur les exigences spécifiques des revues et les critères de qualité requis, tout en démontrant la pertinence et la contribution à la théorie et à la pratique. Cet éditorial développe un résumé succinct des principales conclusions des différents points de vue de l'éditeur, offrant une contribution opportune d'une valeur et d'un avantage significatifs aux universitaires et aux chercheurs de l'industrie.

Introduction
Le processus consistant à conclure qu'un article de recherche soumis ne correspond pas aux objectifs et à la portée spécifiques des revues ou ne répond pas à la rigueur et à la qualité requises est communément appelé - rejet de bureau . Cet élément du processus de révision est normalement effectué directement par l'éditeur de la revue ou par l'équipe de sous-éditeurs spécialisés. Seuls les articles soumis jugés conformes à la sélection initiale de l'éditeur seraient envoyés aux examinateurs pour une évaluation détaillée par les pairs de leur pertinence et de leur nouveauté pour publication dans la revue spécifique.

Pour les chercheurs qui subissent un rejet de bureau, cela peut être une expérience douloureuse et frustrante où les auteurs peuvent avoir eu de grandes attentes pour l'article soumis. De même, la décision de rejeter peut être un processus long et extrêmement décevant pour les éditeurs, où un nombre important de soumissions sont rejetées à ce stade initial, et les auteurs n'ont peut-être pas réussi à aligner leurs soumissions sur la portée, la qualité et la pertinence de la revue (Craig, 2010, Flanagan, 2021, Stolowy, 2017), ou ont offert une contribution de recherche insuffisante (Billsberry, 2014, Hierons, 2016, Hulland, 2019). Une augmentation du niveau des soumissions pour les revues clés, en particulier de pays comme l'Inde, le Brésil et la Chine, a aggravé la situation,

Le processus d'examen et d'acceptation des revues nécessite l'aide et l'expertise d'un ensemble fini d'experts académiques, qui offrent leurs services sur une base volontaire et de bonne volonté à des revues spécifiques. En règle générale, les revues exigent trois évaluateurs ou plus, chacun offrant ses propres idées et points de vue sur l'article soumis. Cependant, les éditeurs doivent généralement approcher entre cinq et dix réviseurs pour obtenir l'engagement nécessaire, ce qui entraîne des retards importants dans le processus de révision (Ansell et Samuels, 2021 ; p. 5). Par conséquent, les éditeurs sont conscients de leurs précieuses ressources de réviseurs et sont généralement enclins à rejeter une soumission plutôt que d'envoyer des articles de mauvaise qualité qui ne justifieraient pas le temps précieux des réviseurs et finiraient par être rejetés plus tard dans le processus (Bannister & Janssen , 2019).

La littérature a mis en évidence les faibles niveaux de recherche qui se concentrent sur le rejet (Balyakina & Kriventsova, 2021), les études existantes posant des théories sur les causes sous-jacentes et les pratiques institutionnelles qui entraînent des taux de rejet de bureau compris entre 20 % et 50 % (Ansell et Samuels , 2021, Balyakina et Kriventsova, 2021, Hassell, 2021). Ce qui est clair, c'est qu'il existe un écart important entre les objectifs et les attentes des auteurs et les exigences des éditeurs de revues. Le moteur de cet éditorial est que cette situation ne semble pas s'améliorer. Cet éditorial vise à combler cette lacune en offrant un nouvel aperçu et une nouvelle perspective de neuf éditeurs de revues de premier plan qui ont distillé leurs expériences « vécues » sur leurs raisons de rejet de bureau et ont offert leurs conseils aux auteurs pour progresser au-delà de cette étape critique du processus de publication. . Les points de vue de l'éditeur sont répertoriés dans la section suivante, où chacun réfléchit sur ses propres expériences dans sa revue spécifique. Il convient de noter que les commentaires et recommandations des neuf éditeurs compilés dans la section suivante sont sous une forme non éditée, présentés directement tels que les éditeurs les ont fournis. Bien que cette approche crée une inégalité inhérente dans le flux logique (Dwivedi et al., 2021a, Dwivedi et al., 2021b, Dwivedi et al., 2020, Dwivedi et al., 2015), il saisit les orientations distinctives des éditeurs et leurs recommandations liées à divers aspects liés à la sélection documentaire et au processus de rejet. La discussion générale sur les principaux fils conducteurs des points de vue et des conseils de l'éditeur est fournie dans la section trois. La dernière section fournit un résumé utile pour les auteurs sur la façon d'éviter les rejets de bureau.

Revue internationale de gestion de l'information
Volume 62 , février 2022 , 102426
Éditorial
Éditorial : comment développer un article de recherche de qualité et éviter le rejet d'un bureau de revue
Les liens d'auteur ouvrent le panneau de superpositionYogesh K. Dwivedi PhD ( Professeur )Giampaolo Viglia
https://doi.org/10.1016/j.ijinfomgt.2021.102426
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Résumé
Le rejet de bureau des articles soumis peut être un processus extrêmement frustrant et démotivant du point de vue du chercheur, mais également une étape chronophage et vitale dans le processus pour l'éditeur, chargé de sélectionner les articles appropriés qui répondent aux critères requis pour d'autres examen et contrôle. Les commentaires des éditeurs de revues dans cet éditorial mettent en évidence les lacunes importantes dans la compréhension de nombreux universitaires du processus d'évaluation des revues et des critères d'acceptation pour la progression vers l'étape d'examen. Cet éditorial offre une perspective « vécue » précieuse sur le processus de rejet de bureau à travers le prisme de l'éditeur, via les points de vue divergents de neuf éditeurs de revues de premier plan. Chaque éditeur exprime ses propres points de vue sur les nombreuses raisons du rejet de bureau, offrant des informations clés aux chercheurs sur la manière d'aligner leurs soumissions sur les exigences spécifiques des revues et les critères de qualité requis, tout en démontrant la pertinence et la contribution à la théorie et à la pratique. Cet éditorial développe un résumé succinct des principales conclusions des différents points de vue de l'éditeur, offrant une contribution opportune d'une valeur et d'un avantage significatifs aux universitaires et aux chercheurs de l'industrie.

Introduction
Le processus consistant à conclure qu'un article de recherche soumis ne correspond pas aux objectifs et à la portée spécifiques des revues ou ne répond pas à la rigueur et à la qualité requises est communément appelé - rejet de bureau . Cet élément du processus de révision est normalement effectué directement par l'éditeur de la revue ou par l'équipe de sous-éditeurs spécialisés. Seuls les articles soumis jugés conformes à la sélection initiale de l'éditeur seraient envoyés aux examinateurs pour une évaluation détaillée par les pairs de leur pertinence et de leur nouveauté pour publication dans la revue spécifique.

Pour les chercheurs qui subissent un rejet de bureau, cela peut être une expérience douloureuse et frustrante où les auteurs peuvent avoir eu de grandes attentes pour l'article soumis. De même, la décision de rejeter peut être un processus long et extrêmement décevant pour les éditeurs, où un nombre important de soumissions sont rejetées à ce stade initial, et les auteurs n'ont peut-être pas réussi à aligner leurs soumissions sur la portée, la qualité et la pertinence de la revue (Craig, 2010, Flanagan, 2021, Stolowy, 2017), ou ont offert une contribution de recherche insuffisante (Billsberry, 2014, Hierons, 2016, Hulland, 2019). Une augmentation du niveau des soumissions pour les revues clés, en particulier de pays comme l'Inde, le Brésil et la Chine, a aggravé la situation,

Le processus d'examen et d'acceptation des revues nécessite l'aide et l'expertise d'un ensemble fini d'experts académiques, qui offrent leurs services sur une base volontaire et de bonne volonté à des revues spécifiques. En règle générale, les revues exigent trois évaluateurs ou plus, chacun offrant ses propres idées et points de vue sur l'article soumis. Cependant, les éditeurs doivent généralement approcher entre cinq et dix réviseurs pour obtenir l'engagement nécessaire, ce qui entraîne des retards importants dans le processus de révision (Ansell et Samuels, 2021 ; p. 5). Par conséquent, les éditeurs sont conscients de leurs précieuses ressources de réviseurs et sont généralement enclins à rejeter une soumission plutôt que d'envoyer des articles de mauvaise qualité qui ne justifieraient pas le temps précieux des réviseurs et finiraient par être rejetés plus tard dans le processus (Bannister & Janssen , 2019).

La littérature a mis en évidence les faibles niveaux de recherche qui se concentrent sur le rejet (Balyakina & Kriventsova, 2021), les études existantes posant des théories sur les causes sous-jacentes et les pratiques institutionnelles qui entraînent des taux de rejet de bureau compris entre 20 % et 50 % (Ansell et Samuels , 2021, Balyakina et Kriventsova, 2021, Hassell, 2021). Ce qui est clair, c'est qu'il existe un écart important entre les objectifs et les attentes des auteurs et les exigences des éditeurs de revues. Le moteur de cet éditorial est que cette situation ne semble pas s'améliorer. Cet éditorial vise à combler cette lacune en offrant un nouvel aperçu et une nouvelle perspective de neuf éditeurs de revues de premier plan qui ont distillé leurs expériences « vécues » sur leurs raisons de rejet de bureau et ont offert leurs conseils aux auteurs pour progresser au-delà de cette étape critique du processus de publication. . Les points de vue de l'éditeur sont répertoriés dans la section suivante, où chacun réfléchit sur ses propres expériences dans sa revue spécifique. Il convient de noter que les commentaires et recommandations des neuf éditeurs compilés dans la section suivante sont sous une forme non éditée, présentés directement tels que les éditeurs les ont fournis. Bien que cette approche crée une inégalité inhérente dans le flux logique (Dwivedi et al., 2021a, Dwivedi et al., 2021b, Dwivedi et al., 2020, Dwivedi et al., 2015), il saisit les orientations distinctives des éditeurs et leurs recommandations liées à divers aspects liés à la sélection documentaire et au processus de rejet. La discussion générale sur les principaux fils conducteurs des points de vue et des conseils de l'éditeur est fournie dans la section trois. La dernière section fournit un résumé utile pour les auteurs sur la façon d'éviter les rejets de bureau.

Extraits de section
Professeur Christy MK Cheung [CMKC], rédacteur en chef d'Internet Research
Recevoir une décision de refus peut provoquer une déception et une frustration extrêmes pour la plupart des auteurs. Merci au professeur Dwivedi de m'avoir donné l'occasion de partager les observations de ma rédaction d' Internet Research . Bien que le partage soit uniquement basé sur mes expériences avec Internet Research , les raisons que j'ai identifiées sont également couramment observées dans d'autres revues à comité de lecture. J'espère que mes observations pourront offrir aux auteurs des idées pour mieux préparer leurs manuscrits et rationaliser leur soumission.

Discussions et recommandations
Cette section traite des principales conclusions des éditoriaux existants et des éditeurs de revues invités, où la discussion développe de nombreuses perspectives collectives sur les raisons pour lesquelles les soumissions sont rejetées et les conseils offerts aux chercheurs. Les perspectives de cette section rassemblent les conseils de fond des éditeurs pour les chercheurs afin d'atténuer les raisons courantes du rejet de bureau et d'offrir une voie pour progresser vers l'étape de l'examinateur.

De nombreux chercheurs omettent peut-être de voir le bureau

Remarques finales
La tâche des éditeurs de revues de juger de la qualité et du potentiel d'un manuscrit soumis est multiforme dans un cadre et un processus qui visent à être équitables tout en démontrant une rigueur et une procédure régulière spécifiques aux objectifs et à la portée de la revue. Cet éditorial articule les principales considérations des éditeurs contributeurs sur les principales raisons du rejet de bureau et distille les recommandations et les conseils aux chercheurs sur la façon d'éviter certains des pièges et de passer à l'étape de l'examinateur.
Lien de l'article original :https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0268401221001195?via%3Dihub
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