C'est après avoir relayé abondamment, l'histoire de cette jeune edutiante Tchadienne de l'université de Ngaoundere embastillé par la police camerounaise après avoir été menotté pour une histoire banale qu'un autre témoignage de dame X que vous retrouverez sur cette capture d'écran vient porter confirmation que ces gens comme le pensent certains de nos compatriotes ne sortent pas pour travailler mais pour se faire plein les poches.
Dernièrement, une connaissance m'a raconté son témoignage. D'après l'ami, il était à bord de son véhicule pour se rendre sur Yaoundé partant de Bafoussam.
Il décide donc de charger à côté d'une agence de voyage qu'on ne citera pas, question d'amortir son carburant. D'après lui il avait déjà un passager il lui manquait encore deux autres, étant donné que ce jour il devait me prendre à bafia où je l'attendais. Subitement, un policier a débarqué pour non seulement lui intimer l'ordre de déguerpir mais pour demander le dossier de son véhicule. L'ami a donc eu la présence d'esprit de prendre le billet de kolo (1000fcfa) communément appelé au Cameroun et de lui donner. C'est au policier de lui dire après ce geste que ta voiture est à vide il y a encore plein de Yaoundé la bas qui proposent 4000.
Voilà donc notre police, nos Gendarmes, ceux la qui sont sensés nous protéger qui oppriment les pauvres citoyens dans la rue. En lisant le témoignage de cette jeune dame victime de cette autre pratique au niveau du poste de contrôle de MBANKOMO hier 12 août, on peut comprendre que ces gens non seulement ne sortent pas pour travailler, mais sortent eux pour chercher leur argent.
Chaque jour, les Camerounais se font abuser par nos FMO (police, gendarme) sans que des sanctions conséquentes ne suivent, mais jusqu'à quand?
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